Il y a des cannibales partout
Un homme soupçonné de cannibalisme interpellé dans les Hauts-de-Seine
PARIS (AP) - Un homme de 23 ans soupçonné de cannibalisme devait être déferré lundi soir après le meurtre présumé dimanche matin à Nanterre (Hauts-de-Seine) d'un étudiant de 20 ans, apprend-on lundi de source policière.
Selon les premiers éléments de l'enquête, confiée au service départemental de la police judiciaire, de Français d'origine africaine et né à Westminster (Angleterre) aurait asséné à sa victime plusieurs coups de couteau au niveau de la tête avant d'essayer d'en manger le contenu.
Un passant a assommé l'anthropophage présumé à l'aide d'un combiné arraché d'une cabine téléphonique proche.
L'arme du crime, un couteau cranté long d'une dizaine de centimètres, a été retrouvée.
Le tueur présumé, qui a été brièvement hospitalisé, n'a fourni aucune explication lors de sa garde à vue. La perquisition du logement où il vivait seul a permis de découvrir des carnets où étaient consignés à la minute près chacun de ses faits et gestes. Les policiers vont poursuivre leurs investigations afin de connaître ses motivations. AP
PARIS (AP) - Un homme de 23 ans soupçonné de cannibalisme devait être déferré lundi soir après le meurtre présumé dimanche matin à Nanterre (Hauts-de-Seine) d'un étudiant de 20 ans, apprend-on lundi de source policière.
Selon les premiers éléments de l'enquête, confiée au service départemental de la police judiciaire, de Français d'origine africaine et né à Westminster (Angleterre) aurait asséné à sa victime plusieurs coups de couteau au niveau de la tête avant d'essayer d'en manger le contenu.
Un passant a assommé l'anthropophage présumé à l'aide d'un combiné arraché d'une cabine téléphonique proche.
L'arme du crime, un couteau cranté long d'une dizaine de centimètres, a été retrouvée.
Le tueur présumé, qui a été brièvement hospitalisé, n'a fourni aucune explication lors de sa garde à vue. La perquisition du logement où il vivait seul a permis de découvrir des carnets où étaient consignés à la minute près chacun de ses faits et gestes. Les policiers vont poursuivre leurs investigations afin de connaître ses motivations. AP